I wait for one year for this sandwich.
The poutine shack has found a local producer of squeaky cheese, but they’re not sharing where!
But as always, there is the lake.
The beaver is a proud and noble animal
Notes from a bemused canuck
I wait for one year for this sandwich.
The poutine shack has found a local producer of squeaky cheese, but they’re not sharing where!
But as always, there is the lake.
Le 6 décembre, jour de la Saint-Nicolas, est fêté traditionnellement dans plusieurs pays européens du Nord et de l’Est de l’Europe (notamment la Belgique, le Luxembourg, le Nord et l’Est de la France surtout en Lorraine et en Alsace, les Pays-Bas, l’Allemagne et la Suisse) « où il distribue des cadeaux à tous les enfants sages ».
Lors de sa « tournée », saint Nicolas distribue traditionnellement une orange et du pain d’épices portant son effigie. Le Père Fouettard, vêtu de noir et porteur d’un grand fagot, parfois le visage barbouillé de suie, l’accompagne, et distribue une trique (une branche de son fagot) aux enfants qui n’ont pas été sages et menace de les frapper. Saint Nicolas est censé voyager sur un âne; aussi les enfants doivent-ils, le soir, préparer de la nourriture (foin, paille, carotte ou grain) pour l’animal. Au matin, ils trouvent les friandises (ou la trique) à la place de ce qu’ils ont préparé pour l’âne.
Some people say that the Swiss can be standoffish. This might be the cases in some parts of the country (looking at you, German cantons), but the Swiss Romands are lovely people. I’ve just had a completely impromptu 15 minute conversation with a lovely man called Claude and his tibetan terrier. He professed his love of Gilles Villeneuve, was à martial arts instructor, and spoke about the lovely vacation he’d had in Montréal when he was a boy.
Au départ il y a une légende,
Celle de l’épouvantail,
Que certains prétendent,
N’être qu’une cassibraille.
Elle fut trouvée par hasard,
Dans le galetas du château.
Elle raconte l’histoire bizarre
De quelques épouvantaux.
Ils furent donnés aux vignerons,
Par Amédée beau garçon,
Notre Bon Comte de Savoie,
Bienveillant de surcroît.
Qui… écoutez bien camarades !
Pour protéger le raisin des oiseaux,
Imagina cette parade,
Pour apeurer les étourneaux.
Obligés de sa bonté,
Promesse fut faite,
Par les vignerons du comté,
De s’acquitter d’une dette.
Il fut solennellement décrété,
Que vendanges ce faisant,
Le meilleur raisin sera porté,
A Amédée le bienveillant.
Mais la vendange fut si belle,
Que les vignerons en kermesse,
Dans des bacchanales continuelles,
Finirent par oublier la promesse.
Amédée fâché garda rancoeur.
Jurant, qu’on ne l’y reprendra plus.
L’année suivante à la même heure,
Sur les épouvantails… jeta son dévolu.
Les ayant tous ensorcelés,
Non content de faire peur aux oiseaux,
Ils se mirent à gesticuler,
Pour épouérer les badauds.
Impossible de pénétrer dans les vignes!
Tous enfermer dans leur maison,
Les vignerons ont la déprime.
Le raisin? Comment ils le cueilleront?
Alors l’Amédée dit aux malandrins,
Vous n’avez qu’à tenir votre promesse,
Apportez-moi vos plus beaux raisins,
Je vous sortirai de la détresse.
Ainsi vit-on venir de partout,
Des brantes pleines et des vignolants,
Converger dans un grand raout,
Vers le petit bourg de Denens.
Ils partirent en cortège,
Avec tambours et accordéons,
Louant Dieu, qu’il les protège,
Dans leur acte de rémission.
Ils descendirent par vignes et par champs,
Jusqu’à Chigny où il y eu bombance,
Les paysannes ayant pris le temps,
De mitonner victuailles en abondance
Puis ils repartirent repus et joyeux,
Destination le château.
A Morges notre chef-lieu,
On a dressé des chapiteaux.
Ils arrivèrent sous les hourras
D’une foule en allégresse.
Devant Amédée… Alléluia!
Donnant le raisin, tinrent la promesse.
Alors Monseigneur reconnaissant,
Célébra… Roi de la vigne et du vin,
Celui qui, son travail maîtrisant,
Lui offrit le meilleur raisin.
Puis pointant du doigt
Un épouvantail géant,
Sentencieux… il déclara,
Voici le charlatan !!!
C’est lui le roi des épouvantails,
Vous n’avez qu’à le brûler,
Et grâce à ces funérailles
Du mauvais sort, serez libérés!
C’est alors qu’ils traînèrent le roi déchu,
A travers les rues de la ville en délire,
Torches, pétards, artifices et tohu-bohu,
Accompagnèrent à son bûcher… le martyr.
Dans un fatras indescriptible,
Le brave fini par exploser,
Sous l’effet des combustibles,
Devant la plèbe hallucinée.
Enfin libéré du sort qui leur était jeté,
Les épouvantails retrouvèrent la quiétude,
Les vendanges purent alors se dérouler.
D’un grand millésime ce fut le prélude.
This was not your average, traditional harvest festival.
Here are some of the “official” pictures from the show:
I was having a beer and a chin-wag with Colin when he pointed out the moon to me, over the alps and the lake. He said something that really struck a chord: for our kids, this view is a normal, everyday thing. They don’t realise that there are quite a few many places that are not as nice as this. He’s right, and for all of its idiosyncrasies, Switzerland has been good to us.
This is how it’s done.